Fabien HADDADI est un ingénieur franco-australien en Technologies de l'Informations (I.T), diplômé de l'Université de Bordeaux (ENSCBP, 1997), et spécialisé dans les technologies de l'Internet.
Encore à l'école primaire, et peut-être parce qu'il est un peu livré à lui-même, face à des parents qui ne font pas vraiment d'efforts pour le distraire,
il se réfugie dans les livres et le sport (athlétisme, tennis et cyclisme).
Il manifeste rapidement un intérêt pour les sciences, théoriques et pratiques ; d'abord l'astronomie, puis la chimie, et enfin la physique et les mathématiques.
C'est moins l'école que livres et les cours de lycée de sa soeur aînée, découverts dans le grenier de la maison familiale, qui lui apportèrent initialement ses connaissances.
A dix ans, il suit des fiches de révisions du Bac de Terminale C (sciences), puis suit plus tard des études post-BAC à Tours, puis à Bordeaux (Talence).
Adepte de la polyvalence, il passe peut-être un peu trop de temps sur son vélo et sa guitare basse, et ne poursuit pas plus loin le chemin académique tout tracé (doctorat, suivi par beaucoup de ses pairs).
Ce qui compte pour lui dès lors, et jusqu'à ce jour, c'est quatre verbes :
Comprendre le monde qui l'entoure, au sens large, c'est à dire les choses naturelles mais aussi les méthodes de travail et de réalisation.
Apprendre le bagage nécessaire pour comprendre, mais aussi pour jauger de lui-même les méthodes en place. Peu influençable, il préfère comparer, analyser, puis choisir.
Exceller, c'est à dire rechercher l'excellence, sachant que la perfection reste hors de portée, mais tout en refusant de remiser sa polyvalence.
Aider son prochain, qui se décline en deux arômes :
aider les "sachants" à aller plus loin, et à mener à bien des projets complexes ensemble, dans le plus pur sens de l'entreprise humaine ;
aider tout un chacun, s'il y a matière à transmettre du savoir, des méthodes optimales, ou tout simplement dans la vie de tous les jours ;
tenir une porte, transporter quelque chose de lourd, contribuer bénévolement à des causes nobles,
ou accroître le savoir de l'humanité en apportant sa nano-contribution.
Il vit avec sa famille entre la France et l'Australie, à l'écoute et respectant son environnement, en tentant de donner à ses deux enfants les outils nécessaires à la compréhension de ce monde, ce qui, dit-il, "leur permettra de choisir leur voie, en pleine possession des moyens nécessaires à y exceller… ou à y être polyvalent !".
Laissez-lui donc un petit mot sympa ici, ou même une petite insulte ; bref, une petite réaction humaine . . .
Et puisque tout n'est pas qu'une affaire d'argent, il s'implique spontanément et régulièrement dans des activités de bénévolats, telles que le don du sang, tous les quatre mois, mais aussi dans des opérations "villes propres", et dans des événements sportifs.
Fabien a contribué depuis étudiant à l'Internet sur d'autres sites que celui-ci, en particulier en publiant des transcriptions musicales, des traductions pour Google Translate, des photos pour Google Earth, des avis client et voyageurs pour Google et TripAdvisor, ainsi que des posts sur sur StackOverflow.com et ses sites frères (StackExchange.com).
L’oiseau de nuit de Brisbane, ou plutôt le cycliste.
En effet, malgré avoir roulé en mode performance sur les routes de Brisbane et sa grande couronne pendant cinq ans,
totalisant des dizaines de milliers de kilomètres, dont 50% furent parcourus de nuit, parfois au delà de minuit,
je n'ai jamais, je dis bien jamais, croisé la route d'un autre cycliste performance, comprendre sérieux, en tenu, sur un vélo de route.
D'une manière générale, il n'y a d'ailleurs aucun autre cycliste d'un quelconque type (performance ou loisir) après 22 heures le soir.
Bien que je ne sois pas 100% certain d'être le seul représentant de ce groupe sur Brisbane la nuit, les chances qu'il en existe un autre s'amenuise de semaine en semaine.
Si vous en êtes un vous-même, ou en connaissez un, il faut absolument me le signaler ici.
La tête, mais aussi les bras et les jambes.
En effet, j'accorde de l'importance à la polyvalence et à l'autonomie dans la vie.
La matière grise pour prendre les actions qui s'imposent.
Les bras pour chasser et cueillir, au sens élargi ; et les jambes pour me déplacer.